années 70
Toujours sur le thème de la signalétique, mais cette fois-ci, il s’agit de « drapeaux », qui étaient appelés autrefois à Paris des « Têtes de vaches » : ce sont donc les plaques des poteaux-arrêts ! Vous remarquerez qu’en matière de signalétique, nous avons fait d’énormes progrès !
Plaque d’arrêt datant de la SGTE
Ce modèle de plaque d’arrêt date du temps de la SGTE, encore utilisée dans les premières années du réseau TAG.
27 mai 1976, arrêt Poste, à Eybens, de la ligne 71.
Plaque d’arrêt datant de la SGTE
Lorsque de trop nombreuses lignes desservent l’arrêt, ce qui est arrive au centre ville, les indications sont plus succintes car la place est comptée. Par exemple ne figure pas le nom de l’arrêt ! Les lignes TAG et VFD sont bien distinguées, alors qu’elles font partie du même réseau urbain (sauf les lignes 2 et 4 VFD).
7 septembre 1976, arrêt Verdun, à Grenoble, des lignes VFD 2, 4, 21, 22, 23, 24, 41 et 61 et des lignes TAG 6 et 9.
Plaques d’arrêt sur abribus
Sur les abribus, les plaques sont juxtaposées et fixées sur le toit.
16 mars 1977, arrêt Gambetta, à Grenoble, des lignes 1, 2-4, 71, 72, 8, 9, 11-1412, 15, 18.
Plaque d’arrêt SGTE et JC Decaux
À la fin des années 70 apparaissent de nouvelles têtes d’arrêts, crées par JC Decaux. L’information est plus complète et figure notamment la couleur de la ligne. Ces têtes sont même lumineuses.
30 juillet 1979, arrêt Auguste Delaune à Échirolles, de la ligne 13. La ligne 15 ne dessert plus cet arrêt depuis l’opération de restructuration « Secteur Sud » du 17 avril.